Sous la direction de B. Garnot
Dijon, EUD, 1997, 205 p.
ISBN 2-905965-20-7
Ce volume s’articule autour de trois thèmes complémentaires, à chacun desquels est consacrée une partie spécifique : le bon magistrat, puis les mauvais juges, enfin les notaires et policiers défaillants. La définition du bon magistrat sous l’Ancien Régime, pendant la Révolution et l’Empire, et à l’époque contemporaine, est abordée par trois études. Le portrait du juge idéal ainsi posé, force est de constater, grâce aux quatre études suivantes que la réalité n’y correspond pas toujours, tant à la fin du Moyen Âge dans le Lyonnais, qu’en Lorraine, en Bourgogne et en Franche-Comté pendant l’Ancien Régime. Les cinq études de la troisième partie montrent que certains auxiliaires de justice ne sont pas de reste, qu’il s’agisse des notaires du Moyen Âge et de l’Ancien Régime, ou des policiers des XIXe et XXe siècles.